Alice Ϟ Non d'une chocogrenouille !

Baguette : La baguette d'Alice est très efficace pour les Enchantements. C'est sûrement pour cela qu'elle était si douée à l'école. La jeune femme a toujours prit soin de sa baguette évitant soigneusement de la casser ou de la faire tomber. Elle fait 18,79 centimètres, ce n'est pas une grande baguette mais elle suffit amplement à Alice, ainsi elle peut la cacher plus facile. Faite de bois de sorbier et d'une plume de phénix. Alice a toujours comprit que sa baguette était spéciale, enfin pour elle en tout cas. Elle suppose que tous les sorciers trouvent leur baguette spéciale et unique, comme si c'était une partie d'eux même.

   Miroir du Riséd : Décrivez ici ce que votre personnage verrait s'il faisait face au miroir. Autrement dit, quel est son désir le plus profond ? Le désir le plus profond d'Alice... Elle n'a jamais réellement réfléchit à cela. Pendant un instant donc, elle s'imagine devant le miroir à le regarder, bien dans les yeux. Comme si le miroir était quelqu'un. Elle pensa un instant qu'elle aurait pu revoir ses plus beaux moments à Poudlard, mais non, son désir le plus profond était bien plus noir. Elle pensa d'abord à son souhait d'avoir des enfants. Mais l'image de Bellatrix Lestrange se mit alors à apparaitre. Elle regarda la belle blonde de ses yeux noirs et joueurs. Elle s'amusait à courir mais elle tombait. Elle tombait par terre et ne réussissait pas à se relever. Alice se vit alors l'attraper et la frapper si fort au visage qu'elle en perdit connaissance. Bellatrix se retrouvait derrière les barreaux, enfin. Enfin Alice avait réussit cette mission, celle qu'elle souhaitait le plus au monde. Pour Franck, pour elle. Pour son futur car pour la jeune Longbottom, Lestrange est certainement la pire mangemort de tous les temps. Pas par sa force, mais par sa folie.

   Épouvantard : Décrivez ici la plus grande peur de votre personnage, celle en laquelle un épouvantard pourrait se transformer.L'épouvantard se transformerait sûrement en Franck, dans un bain de sang. Il aurait les yeux ouverts, pointés sur elle, comme si c'était de sa faute, comme si elle l'avait tué. C'est pourquoi, elle n'a jamais cherché à battre son épouvantard. Elle n'a en réalité, vu que deux fois. Une fois à l'école, à cette époque, son épouvantard était une de ses poupées anciennes en chiffons qui ressemblait plus à une sorcière. Et il y a peu, elle s'était retrouvée face à son mari couvert de sang.

   Amortentia : Décrivez ici les odeurs (généralement trois) que sentirez votre personnage en présence d'Amortentia, et à quoi ou qui ces odeurs sont associées, ainsi que leur importance pour votre personnage.La première odeur se serait les madeleines de sa mère sortant du four. Bien qu'elle était née d'une famille de sang-pur, sa mère aimait faire la cuisine comme n'importe qui. Elle était particulièrement douée pour la pâtisserie et surtout les madeleines. Petite, Alice n'arrêtait pas de manger ses petits gâteaux.
La deuxième odeur serait celle du parfum de son père. Il avait toujours cette petite fiole à coté de son lit, et lorsqu'il se levait le matin, il en mettait. Avant de partir pour le Ministère, il venait embrasser sur le front Alice et celle-ci reniflait l'odeur. Elle ne dormait jamais vraiment quand son père partait.
Enfin la dernière serait d'une bonne bierraubeurre qu'elle boirait dans un pub à Pré-au-Lard ou en compagnie de ses amis de l'ordre du phénix. Elle reniflerait d'abord pour vérifier qu'elle est bien fraiche, puis la boirait d'une trêve, trouvant cette bière tellement exquise.  
   

Compétences magiques
   
   Duels : ☆☆☆☆☆☆☆☆
   Potions : ☆☆☆☆☆
   Métamorphose : ☆☆☆☆
   Sortilèges : ☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆
   Légilimancie : ☆☆☆☆
   Occlumancie : ☆☆
   Quidditch : ☆☆☆☆☆
   Divination : ☆☆
   

Dire que la vie d’Alice Longbottom fut simple est la vérité. Elle eut bien de la chance de ne pas être comme d’autres enfants, abandonnés à la naissance ou maltraités. Au contraire, elle arriva dans la famille Prewett et elle y fut tout de suite bien accueillie.  Fille unique de parents sorciers (comme toute sa famille), elle nagea dans le monde des sorciers dès sa naissance. Petite, elle était du genre à prendre les autres de haut, que ce soit les moldus ou les sang-mêlés. Ses parents la reprenaient toujours car elle devait retenir, que bien qu’elle était de sang pur, son sang n’était rien. Elle ne devait pas se penser supérieur. Alice apprit donc à apprécier toutes les personnes qui pouvaient l’entourer, ce qui rendit ses parents très fiers.

Ses parents d’ailleurs étaient tout comme elle, des dévoués travailleurs du Ministère de la Magie. Assignés au département de la Justice magique, ils apprenaient avec fierté à leur fille, la justice et le sens de l’ordre. Aussi, elle grandit dans l’idée que les mangemorts étaient des êtres vils, et sans cœur qu’il fallait éviter et surtout qu’ils n’étaient pas bons de côtoyer.

Bien qu’elle était fille unique, Alice n’était pour autant pas la reine de la maison. Ses parents savaient lui dire non et leur prouver leur autorité. C’est d’ailleurs pourquoi, elle se sentit si protéger. Elle savait qu’avec eux, rien ne pourrait lui arriver.

Quand à onze ans, elle reçut la lettre de Poudlard, sa mère ne put s’empêcher de pleurer de joie. Fille d’un père Serdaigle et d’une mère Gryffondor, elle savait qu’elle ne finirait pas à Serpentard. Alice en était persuadée. Elle rêvait secrètement de suivre l’un de ses deux parents pour qu’ils soient encore plus fiers d’elle. La jeune sorcière avait déjà plusieurs fois visitée le Chemin de Traverse avec ses parents. Mais ce fut la seule fois où elle se sentait plus unique, plus acceptée dans ce monde. Comme les autres élèves, elle acheta ses livres et se rendit à Ollivander’s pour acheter sa baguette. Baguette qui fut d’ailleurs difficile à trouver. Elle resta chez le marchand deux bonnes heures, mais cela ne la dérangea pas. Elle aimait trop l’univers magique pour sans lasser. Finalement la baguette choisit sa maitresse. 18,79 cm faite avec du bois de sorbier et d’une plume de phénix, efficace pour les enchantements. Alice en fut plus que ravie. Elle se sentit enfin sorcière et plus fille de sorciers. Avec sa baguette à la main, elle pouvait enfin s’avouer élève de Poudlard. Afin de correspondre, ses parents lui achetèrent un hibou, Gizly. Petit, mais rapide, elle se sentit tout de suite uni avec ce petit être.

Durant les deux dernières nuits qui la séparaient de son départ pour Poudlard, Alice ne ferma pas l’œil, préférant déjà se plonger dans ses livres. Quand enfin, elle arriva sur la voie 9 ¾  la petite blonde, fut si excitée qu’elle embrassa rapidement ses parents et monta dans le train qui l’emmenait vers sa nouvelle école. Bien qu’elle soit seule, Alice apprécia ce voyage, où elle découvrit de nouveau paysage, elle qui n’avait jamais quitté sa banlieue de Londres.  Lorsqu’elle arriva à Poudlard, elle aurait sûrement du se sentir perdue, seule, mais non, elle fut heureuse. Heureuse d’enfin découvrir l’école de sorcellerie dont lui parlait ses parents. Mais anxieuse à l’idée de ne pas être à la hauteur et de ne pas finir à Serdaigle ou Gryffondor. Quand elle entra dans la grande salle, tous ses doutes disparurent. Si elle avait reçue cette lettre, c’était sûrement parce qu’elle serait acceptée ici. Qu’on reconnaitrait son tempérament, ainsi que son travail. Quand on installa le Choixpeau sur sa tête, il n’hésita pas un instant. Gryffondor. Alice se rendit directement à sa table si heureuse de représenter sa mère.

Durant ses années à l’école, elle ne perdit pas de temps. Dès les premières heures de cours, elle se mit au travail, en faisant tous ses devoirs, et en apprenant chaque leçon. A coté de ses études, elle n’eut pas de mal à se faire des amies, qu’elle aimait retrouver le soir dans la tour des Gryffondor. Comme l’avait dit Ollivander’s, elle réussit parfaitement les sortilèges d’enchantement, avec pourtant une préférence pour les défenses contre les forces du mal. Très rapidement, elle rejoint le club des duels. Elle veut prouver qu’elle n’est pas si fragile que cela, et qu’elle sait très bien se battre et protéger ceux qu’elle aime. Ce fut donc les Serpentards qui furent touchés par ses colères. D’ailleurs, elle s’attira quelques ennuis. Attaquer et mettre une déculotté à un élève de cinquième année quand on est que en troisième, ce fut très drôle pour elle. Mais dans les couloirs, elle dut faire face aux regards noirs, aux coups d’épaules qui la firent voler contre les murs. Pourtant, elle ne s’arrêta pas. Elle continua de participer au club de duel, et en quatrième année, elle fut sacrée pour la première fois championne. Et cela se répéta jusqu’à ce qu’elle quitte l’école. Avec le club de duel elle pouvait prouver qu’elle savait se battre, qu’elle n’était pas que la gentille et rigolote copine. Qu’elle était aussi une sorcière redoutable.

Quand elle quitta l’école, elle fut tout de même prise de nostalgie, n’ayant pas vu ses sept années passées. Elle revit ses années en compagnie de ses amis qu’elle n’oublierait certainement pas. Alice se décida de rejoindre les aurors afin de se battre contre les forces du mal. Durant les formations d’Auror elle y rencontra Franck Longbottom. A dire vrai, elle le retrouva puisqu’ils s’étaient déjà croisés à Poudlard, sans jamais se parler. Très vite ils apprirent à se connaitre et à s’apprécier.

Mais la vie d’Auror ne fut pas chose simple. Loin de là, maintenant elle se bat non plus contre des élèves de septièmes années mais contre de véritables mangemorts qui utilisent des vrais sorts de la mort.

Face à la nouvelle reforme du ministère, Alice n’est pas contre après tout, il faut se mettre à armes égales. C’est d’ailleurs un sujet de dispute avec son mari Franck. Oui, ils sont aujourd’hui mariés, pour le meilleur et pour le pire ! Elle fait d’ailleurs toujours attention en mission. Bien qu’elle fasse confiance à Franck, il aime bien jouer les héros mais Alice le redescend sur terre. Elle ne peut pas avoir les yeux partout, surtout quand une certaine Bellatrix Lestrange traine autour d’eux deux.