Roxy ∆ The pieces in my life

Baguette : J'y connaissais rien en baguette. Et ça n'a pas vraiment changé en réalité. Disons que maintenant il n'y a plus de secret entre moi et une certaine composition de baguette : soit la mienne. D'ailleurs je la surnomme parfois bibiche, c'est un peu ma façon de l'apprivoiser. En effet, ce ne fut pas une mince à faire car « bibiche » est faite en bois d'Orme. Tu imagines leurs têtes à tous ces sang-purs ? Ollivander lui-même m'a dit qu'ils étaient persuadés que ce bois leur appartenait. J'avoue que pour le coup j'affiche avec un grand plaisir le bois de mon arme taillée sur vingt-quatre centimètres. Enfin ça n'a pas été toujours le cas, au début il me résistait. Le bois refusait d'obéir, il ne jetait pas ou mal les sortilèges que je voulais. Et puis petit à petit il a fini par apprécier ma persévérance et mon envie de faire mes preuves à toujours défier n'importe qui. C'est donc au bout de ma troisième année que j'ai pu montrer l'étendue de mes facultés par le biais de ma baguette. D'autant plus qu'en son coeur s'y trouvent quelques plumes de Phénix, un oiseau particulierement remarquable. Oui, ma baguette est unique (du moins je le pense) et pour rien au monde je ne voudrais l'échanger. Elle est devenue une véritable part de moi.

Miroir du Riséd : Je n'ai pas de rêve purement définitif. J'ai plusieurs but dans la vie comme faire triompher les forces du bien. Mais si je devais me focaliser sur ma personne je dirais que pour le moment ce serait être championne de Quidditch. J'adore ce sport RT en être parmi les plus célèbre serait en partie une preuve de ma valeur.

Épouvantard : Il fut un temps, quand je n'avais pas tout à fait conscience de mes capacités, la forme qu'aurait pris cette épouvantable chose aurait été le corps inerte de mon grand frère. J'ai déjà perdu mes parents, il est évident que je ne veux pas perdre ce qu'il me reste de famille. Mais en vérité, ce qui m'effraie encore bien plus est tellement plus égoïste... J'ai peur de redevenir une simple humaine sans possibilité d'utiliser aucune magie, ne plus être sorcière. Ma magie c'est ma fierté, mon moi entier, et si je ne l'ai plus ce serait comme la mort pour moi.

Amortentia : As-tu déjà fait attention à l'odeur de la rosée matinale ? Cette douceur qui empli chacun de tes sens en un instant... Moi, j'aime l'humidité qui se réchauffe doucement par le levé du soleil, j'aime entendre le silence bercé de quelques chants d'oiseaux, mais par dessus tout c'est la fraicheur et l'air pur venant jusqu'à mes narines qui me font chavirer. C'est si raffiné, si calme et serein qu'il n'y a que dans ces moments où je peux me laisser en toute confiance. Généralement j'accompagne cette matinée d'un bon café préparé soigneusement par mes soins et que je saupoudre de cannelle, ajout qui m'est indispensable. C'est tout ce mélange de saveurs et d'odeurs qui me fait fondre. Un moment totalement enivrant qui me ferait perdre tout mes moyens.

Compétences magiques

Duels : 8/10
Potions : 5/10
Métamorphose : 5/10
Sortilèges : 9/10
Légilimancie : 0/10
Occlumancie : 4/10
Quidditch : 9/10
Divination : 0/10

La famille Wood, composée de la feue mère Mariane, du feu père Oliver, d'un premier fils Vivian, d'une seconde, une fille, Roxanne et d'une petite dernière âgée d'à peine sept ans, Gabrielle. Une jolie petite famille de moldus dont les origines étaient déjà plutôt variées puisque le paternel et la plus jeune sont nés en Angleterre, tandis que la mère et les deux aînés du trio sont nés à Paris, la capitale française. Mais c'est là une courte période dont ils se souviennent tous -sauf Mariane- que vaguement puisqu'ils sont partis de l'hexagone alors que Vivian avait seulement trois ans et Roxanne quelques mois. Les Wood se sont donc installés en Angleterre, et plus précisément dans la ville de Londres. Là, le père de famille a ouvert sa propre propre boulangerie qui, sûrement par miracle, s'est étoffée plutôt rapidement, jusqu'à en devenir la meilleure de tout un quartier. Il faut dire que Monsieur Wood faisait la différence grâce aux origines francaises de sa femme et la merveilleuse baguette qu'elle pouvait faire de ses mains. Ce fut donc cette fameuse petite boutique qui permis aux parents de nourrir, éduquer et habiller leurs trois enfants dans de bonnes conditions. Ce que les époux réussirent à faire pendant un peu plus de dix ans. Un peu plus de dix ans seulement puisque la Mort vint emporter Mariane quelques heures après la naissance de son nouveau-né. Elle qui était atteinte d'une maladie encore inconnue a préféré donner sa vie contre celle de sa petite dernière, Gabrielle. Mais comme un malheur ne peut arriver seul, c'est un an tout juste après l'enterrement de sa dame qu'Olivier succomba à son tour aux tourments de la faucheuse. Pris d'un chagrin beaucoup trop intense, Monsieur Wood se suicida en léguant ses enfants à sa vieille mère.